Theix-Noyalo

Theix-Noyalo, à la croisée des chemins

À proximité du Golfe du Morbihan et de la Presqu’Ile de Rhuys, Theix-Noyalo jouit d’une situation géographique privilégiée et se présente comme une ville « à la croisée des chemins ». Elle se trouve à 5 km de Vannes, et 67 km de Lorient. Son accès facile, dans le prolongement de l’espace commercial à l’est de Vannes, est attrayant pour les entreprises. Plus de 400 commerçants, artisans et entreprises sont répartis entre le centre-bourg et les zones d’activités d’Atlantheix, de Saint-Léonard et du Landy.

L’agriculture représente un secteur d’activité encore très important : 34 exploitations se partagent environ 2 300 hectares de terres agricoles. D’une superficie de 5206 hectares, la commune est, dans sa grande majorité, couverte par des espaces naturels.

Le village de Gorvello

Sur son territoire, figurent nombre de richesses, tel le village du Gorvello. Ce petit village fleuri et illuminé a la particularité de se situer sur deux communes : Theix-Noyalo et Sulniac. Son patrimoine architectural mérite le détour, plusieurs monuments étant classés monuments historiques. N’hésitez pas à venir admirer la fontaine Saint Jean-Baptiste ou à poursuivre la balade par « le chemin de brouettes ».

Les chapelles

Les pardons sont, en Bretagne, un des fondements de la vie religieuse et sociale. Fêtes religieuses tout d’abord, ils sont traditionnellement suivis de réjouissances populaires… Theix-Noyalo a conservé cette tradition, qui veut que le saint à qui est dédié la chapelle soit honoré en ce lieu à une date fixe, en général un dimanche.

  • St Joseph à Calzac Eglise en mars,
  • St Michel à Brangolo, le dernier dimanche de juillet,
  • La Vierge Marie en la chapelle N.D la Blanche et à la grotte de Pont-Roz le 15 août,
  • St Léonard en la Chapelle de St léonard, le dernier dimanche d’août,
  • Ste Barbe à Moustoir-Lorho, le 1er dimanche de septembre,
  • On peut y ajouter St Roch en la chapelle du Gorvello.

Le manoir du Plessis-Josso

À visiter, le manoir du Plessis-Josso, bien conservé et toujours habité. Il s’élève dans un agréable cadre de verdure à proximité d’un étang. Il garde l’empreinte et le charme de la haute époque. Ce bel ensemble féodal breton possède encore son enceinte fortifiée avec ses tours et murs crénelés, qui le protégeaient des bandes armées et des pillards qui sévissaient dans la région pendant les guerres de Religion (XVIe siècle).

Le manoir du Plessis-Josso

Comme tous les manoirs de Bretagne au XVe siècle, il avait surtout une fonction agricole, sur un domaine de 1500 hectares s’étendant sur plusieurs paroisses et une population de 500 habitants. Il possédait plusieurs moulins, des fours, une chapelle, et un port privé dans le golfe du Morbihan. Son rôle était à la fois, politique, économique et administratif.

Visites tous les jours de 14h à 19h du 5 juillet au 31 août. Visites possibles toute l’année, sur demande, pour les groupes.

Le site maritime de Kerentré

La cale de Kerentré située sur la route de Sarzeau, avant le pont Noyalo, est un point de vue incontournable, d’où vous pourrez observer, les yeux rivés à vos jumelles, l’arrivée de nouvelles espèces.

Le parc de Brural

Le parc de loisirs de Brural, aménagé sur une surface paysagère de 7 hectares, se poursuit par un vaste plan d’eau douce aux limites duquel le pont de Noyalo fait trait d’union avec le domaine maritime. Ce site offre un milieu naturel d’exception, où faune et flore cohabitent en harmonie.

Le patrimoine de Noyalo

Sa faune et sa flore sont remarquables à plus d’un titre et sa situation géographique en fait un des lieux les plus protégés du Morbihan. Erigé en commune en 1790, il fit partie du canton de Surzur et du district de Vannes. En 1801, Noyalo passa dans le canton de Vannes-Est, et recouvra en 1802 son titre de paroisse et son ancien recteur.

  • L’église Sainte-Anne (XVIIIème siècle), édifiée en remplacement d’un sanctuaire primitif dédié à sainte Brigitte et construite en plusieurs étapes : en 1818-1819 pour l’édification du chœur, du transept et des croisillons, et en 1855-1857 pour la reconstruction de la nef et du clocher. L’autel du transept Nord semble remonter au XVIIIème siècle. Le tableau central du rosaire, daté de 1904, est l’oeuvre de Laumonnier, de Vannes. Les vitraux ont été posés en 1951. L’église abrite une statue en pierre polychrome de sainte Brigitte (vers le XIXème siècle) ;
  • La croix du cimetière (XIXème siècle)
  • La fontaine (1760), située route de Surzur. Elle porte sur un linteau la date de 1760 ;
  • La fontaine GUÉHEC (1869), située au Sud-Ouest du bourg ;
  • La maison de l’Isle (XVIème siècle), propriété en 1513 de la famille Salarun ;
  • Le moulin à marée (XVIème siècle) de Kerentrech (voir texte plus bas) ;
  • À signaler aussi plusieurs stèles de l’âge du fer.

L’étang de Noyalo

L’étang a été créé artificiellement en 1962 sur la rivière de Noyalo pour fournir l’eau nécessaire à l’usine Michelin qui s’implantait à Vannes. La gestion de ce plan d’eau, d’une superficie approximative de 67 hectares, a été concédée à la ville de Vannes. Il s’étend sur les communes de Noyalo et de Theix dont 58 hectares sur Noyalo.

Sur le pont de Kérentré les pêcheurs viennent régulièrement pour la pêche au vif (sandre et brochet).

Le moulin à marée

Une première trace de son existence est précisée par un acte de vente du 26 avril 1460, assis sur un grand étier formé par l’étang naturel de Noyalo. Pendant plusieurs siècles son activité a été importante, équipé de deux roues extérieures et fonctionnant avec le flux et le reflux de la marée. Arrêté définitivement depuis 1923, il est laissé à l’abandon et est détruit en 1962 lors de l’élévation de la digue pour créer l’étang actuel. C’est en 1990 que la décision est prise par le Conseil municipal de le reconstruire et au cours de 1991 il est rebâti sur ses fondations d’origine avec une architecture sans doute plus proche du moulin originel.

Église Sainte Cécile

L’église Sainte Cécile se situe au cœur du bourg ancien, à proximité de la Chapelle Notre Dame La Blanche (XVème siècle inscrite au titre des MH depuis 1925). L’édifice primitif, datant de l’époque gothique, présentait une nef unique et une façade principale contrebutée par des contreforts d’angle. La peinture intitulée « Décollation de sainte Catherine », date du XVIIème siècle.
En 1844 suite aux dégâts de la Révolution et face à la vétusté de l’église, le conseil de fabrique décida de reconstruire l’édifice. La construction s’est faite entre 1850 et 1855 sur les plans de Pobéguin.

THEIX église sainte Cécile

L’aménagement intérieur date de 1880-1900. Le mobilier (à savoir la chaire à prêcher, les retables des autels latéraux et plusieurs statues dont celle de sainte Cécile) est l’oeuvre d’Alphonse Le Brun (sculpteur à Lorient) et date du XIXème siècle. Les vitraux ont été réceptionnés en 1883 suite à la commande du Recteur à la maison Grossé de Herde à Bruges. La statue de sainte Cécile a été placée, en 1895, dans la niche de la tour.

THEIX

Aujourd’hui, la Municipalité a engagé une démarche de restauration complète  (interne et externe) de l’édifice. Cette opération programmée sur plusieurs années nécessitera également la restauration de l’ensemble des 10 vitraux disposés dans les baies en plein cintre et représentant la vie de Sainte Cécile, la patronne des musiciens.

Musicales du Golfe
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